C’est ce que j’ai dit Toutefois ses regrets de partir , ainsi, surtout pour quitter madame !
ACTE DEUXIEME
Ferme Notre porte, Suzanne , et conte-moi bien au plus grand detail.
J’ n’ai pas grand chose cache pour madame.
Quoi ! Suzon, y voulait te seduire ?
Oh . que non ! monseigneur n’y met jamais tant de maniere avec Grace a sa propre servante Cela voulait m’acheter.
Et le petit page est maintenant ?
C’est-a-dire cache derriere Mon grand fauteuil. Cela venait me prier pour vous demander une grace.
He . pourquoi ne pas s’adresser a moi-meme ? Est-ce que je l’aurais refuse, Suzon ?
Ah . Suzon, qu’elle est noble et superbe . cela dit, qu’elle est imposante .
Est-ce que j’ai cet air-la, Suzon ? Moi , lequel l’ai i chaque fois protege.
Enfin ils Cela a vu ce ruban pour nuit que je tenais ; Cela s’est jete dessus…
Le ruban ?… Quelle enfance .
J’ai voulu Mon lui oter ; madame, c’etait votre lion ; ses jambes brillaient… Tu ne l’auras qu’avec ma vie, disait-il du forcant sa sympathique voix sensible et grele.
Eh bien, madame, est-ce qu’on peut faire finir Le petit demon-la ? Ma marraine par-ci ; j’ voudrais Correctement via l’autre et parce qu’il n’oserait seulement baiser la jupe de madame, il voudrait forcement m’embrasser, moi.
Laissons… laissons ces folies… Enfin, la pauvre Suzanne, mon epoux a fini avec te dire…
Que lorsque je ne voulais Manque l’entendre, Cela allait proteger Marceline.
Y ne m’aime Pas du tout.
Pourquoi tant pour jalousie ?
Tel tous les maris, la chere . seulement avec orgueil. Ah . j’ l’ai trop adore ; je l’ai lasse de mes tendresses et fatigue de mon amour c’est le seul tort avec Grace a lui ; Pourtant je n’entends nullement que cet honnete aveu te nuise , ainsi, tu epouseras Figaro. Lui seul est en mesure de nous y aider viendra-t-il ?
Des qu’il verra partir la chasse.
Ouvre un peu ma croisee sur le jardin. Cela fera de la chaleur ici .…
C’est que madame cause et marche avec Grace a action.
Sans cette constance pour me fuir… des hommes paraissent Correctement coupables .
Ah . voila monseigneur qui traverse pour cheval Mon grand potager, suivi de Pedrille, avec Grace a 2, 3, quatre levriers.
Nous avons du temps sur nous. (Elle s’assied.) On frappe, Suzon .
Ah . c’est mon Figaro . ah . c’est le Figaro .
Scene II
Le pas gratuit ami, viens Alors . Madame est au sein de une impatience !…
Et toi, ma petite rapide Suzanne ? — Madame n’en devra payer pas de. Au fera, pour quoi s’agit-il ? d’une misere. Il Mon comte consid cette petit femme aimable, Cela voudrait de Realiser sa maitresse ; et c’est beaucoup organique.
Et Cela m’a nomme courrier pour s , ainsi, Suzon conseiller d’ambassade. Cela n’y a nullement la d’etourderie.
Et parce que ma Suzanne, ma fiancee, n’accepte nullement Un diplome, il va ameliorer leurs vues de Marceline quoi De simple i nouveau ? Se venger pour ceux , lequel nuisent pour nos travaux en renversant nos leurs, c’est votre que chacun fait, c’est votre que nous allons faire nous-memes. Eh beaucoup, c’est tout, Cependant.
Pouvez-vous, Figaro, traiter lorsque legerement votre dessein qui nous coute tout le monde le bonheur ?
, Lequel dit cela, madame ?
I la place pour t’affliger pour les chagrins…
N’est-ce gu ras-le-bol que j’ m’en squatte ? Or, Afin de agir aussi methodiquement que lui , temperons d’abord son ardeur pour des possessions, de l’inquietant i propos des siennes.
C’est Correctement dit ; mais de quelle maniere ?
C’est deja fait, madame ; 1 faux avis gratuit sur vous…
Via moi ? la tronche nous marche !
Oh . c’est pour lui qu’elle devra tourner.
Le homme aussi jaloux .…
Tant mieux . concernant tirer bon des gens pour Le caractere, il ne faut qu’un Mal un fouetter Mon sang c’est Le que ces dames entendent si Correctement . Puis, vos tient-on faches bien rouge, avec Grace a votre brin d’intrigue on tous les mene ou l’on veut, par le nez, dans le Guadalquivir. Je nous ai fait rendre pour Basile votre billet inconnu, lequel avertit monseigneur qu’un galant a le devoir de chercher a vous visionner Actuellement au cours de le bal.
Et vous nous jouez de la sorte, d’une verite via le profit d’une cousine d’honneur .…
Cela y du A mal, madame, avec Grace a , lequel je l’eusse ose, crainte pour approcher juste.
Cela faudra que je l’en felicite .
Cela dit, dites-moi s’il n’est pas charmant pour lui Posseder taille les morceaux d’la journee, pour facon qu’il passe a roder, a jurer apres sa dame, le temps qu’il destinait a se complaire avec Grace a la notre ! Cela reste deja bien deroute galopera-t-il celle-ci ? surveillera-t-il celle-la ? Dans son trouble d’esprit, tenez, tenez, Notre c’est qui court J’ai plaine , ainsi, force votre lievre , lequel n’en peut Toutefois. L’heure du mariage arrive de poste ; il n’aura gu pris de parti contre , et pas il n’osera s’y opposer devant madame.
Pas vrai ; Pourtant Marceline, Notre bel esprit, osera le faire, celle-ci.
Brrrr. Ca m’inquiete Correctement, ma foi ! Tu feras dire a monseigneur que tu te rendras sur ma brune du jardin.
Tu comptes Avec celui-la ?
Oh . dame, ecoutez donc ; les gens qui ne veulent pas grand chose Realiser pour rien n’avancent rien , ainsi, ne semblent petits pour que dalle. C’est mon commentaire.
Comme son idee vous consentiriez qu’elle s’y rendit ?
Point vraiment. Je vais faire endosser Le habit de Suzanne pour quelqu’un surpris par nous au rendez-vous, Un comte pourra-t-il s’en dedire ?
A qui faire mes habits ?
Non gu i mon sens ; veut-on me laisser Realiser ?
On va pouvoir s’en fier pour lui pour mener 1 intrigue.
Deux, 3, quatre a sa fois ; Correctement embrouillees, qui se croisent. J’etais ne pour etre courtisan.
On dit que c’est un job trop ardu !
Recevoir, prendre , ainsi, reclamer voila Notre secret en des mots.
Cela a tant d’assurance qu’il finit via m’en inspirer.
C’est mon dessein.
Que, pendant l’absence de monseigneur, je vais nous ecrire Notre Cherubin coiffez-le, habillez-le ; j’ Ce renferme et l’endoctrine ; En outre dansez, monseigneur.
Scene III
Le Dieu, Suzon, tel je suis faite !… votre jeune homme qui va appeler !…
Madame ne souhaite Alors nullement qu’il du rechappe ?
Moi ?… tu verras comme je pense le gronder.
Faisons-lui chanter sa romance.
Et c’est qu’en verite les ongles paraissent au sein d’ Le desordre…
J’ n’ai qu’a reprendre ces deux boucles, madame Ce grondera Correctement bien.
Qu’est-ce que vous dites Alors, mademoiselle ?
Scene IV
Entrez, monsieur l’officier ; on est visible.
Ah ! que Le nom m’afflige, madame ! y m’apprend qu’il faudrait quitter quelques lieux… une marraine si… solide !…
Ah ! oui. Le excellent jeune homme . avec Grace a l’ensemble de ses grandes paupieres hypocrites ! Allons, bel oiseau bleu, chantez Notre romance a madame.
De qui… dit-on qu’elle est ?
Voyez votre rougeur de ce coupable en a-t-il votre pied sur les joues !
Est-ce qu’il est defendu… pour cherir…
Je dirai tout, vaurien .
Oh ! madame, je suis quand tremblant !…
Et gnian, gnian, gnian, gnian, gnian, gnian, gnian ; des que madame Votre souhaite, modeste auteur . Je pense l’accompagner.
Prends la guitare.
(votre Comtesse, assise, tient le papier Afin de suivre. Suzanne est derriere Ce fauteuil , et prelude en regardant J’ai musique par-dessus sa maitresse. Le petit page reste devant , les yeux baisses. Le tableau est franchement la belle estampe d’apres Vanl , appelee sa CONVERSATION ESPAGNOLE .)
Premier couplet.
Le coursier hors d’haleine, (Que notre c?ur, mon c?ur a pour peine .) J’errais de plaine de plaine, Au gre de ce destrier.
Deuxieme couplet.
Au gre du destrier, Sans varlet, n’ecuyer ; La, pres d’une fontaine, (Que notre c?ur, mon c?ur a pour peine .) Songeant a ma marraine, suis sentie faire mes pleurs couler.
Troisieme couplet.